Auch Mütter sind unter den Betroffenen
© Wilhelmshavener Zeitung
31.08.2001
Auch Mütter sind unter den Betroffenen
Zum Artikel "Väter demonstrieren für Umgangsrechte mit ihren Kindern" in der WZ vom 16. August.
Bezogen auf den Artikel möchte ich bemerken, dass unter den Betroffenen in Berlin nicht nur Väter sind, sondern auch Mütter, insbesondere aus Frankreich oder Polen. Die dramatische, familienfeindliche und wenig kinderfreundliche Praxis in Deutschland trifft also unabhängig von Geschlecht Väter und Mütter. Ich möchte im Übrigen auch auf den skandalösen Fall von Lady Catherine Meyer hinweisen, Gattin des englischen Botschafters in Washington, die seit Jahren ihre beiden Söhne aus erster Ehe nicht sehen kann. Das, was in Deutschland mit Vätern, Müttern und Kindern passiert, ist teilweise ein seelisches Todesurteil. Kinder können dauernde Schäden davontragen, die sich spätestens zur Pubertät zeigen. Wenn Herr Hickmann seine beiden Söhne nicht sehen darf, wird er daran zerbrechen. Ich will hoffen, dass das nicht eintritt.
"humainement vôtre"
Carole Normand, Berlin
Parmi les parents concernés, il y a aussi des mères
© Wilhelmshavener Zeitung
31.08.2001
Parmi les parents concernés, il y a aussi des mères
Lettre concernant l'article "Pères manifestent pour droit de visite chez leurs enfants" dans la WZ du 16 août.
Par rapport à l'article, j'aimerais remarquer que parmi les parents concernés à Berlin, il n'y a pas que des pères, mais aussi des mères, en particulier de France et de Pologne. La pratique en Allemagne - dramatique, hostile à la famille et peu favorable aux enfants - touche donc pères et mères indépendament du sexe. J'aimerais aussi mentionner le cas scandaleux de Lady Catherine Meyer, l'épouse de l'ambassadeur anglais à Washington, qui depuis des années ne peut pas voir ses deux fils de son premier mariage. Ce qui se passe en Allemagne avec les pères, les mères et les enfants est en partie une condamnation à mort psychique. Les enfants peuvent en subir des préjudices durables qui se montrent au plus tard à l'âge de puberté. Si Monsieur Hickman n'a pas le droit de voir ses deux fils, il en sera brisé. J'espère vraiment que cela ne se produira pas.
humainement vôtre
Carole Normand, Berlin
Traduction: C. Gut
http://www.michael-hickman.info/